Lorsqu’il renonce à la garantie des vices cachés dans l’acte notarié, l’acquéreur peut en subir de lourdes conséquences
L'acquéreur qui a renoncé, dans l’acte notarié, à la garantie des vices cachés due par le vendeur de l'immeuble, ne peut ni appeler le vendeur en garantie pour réparer le préjudice subi par le locataire de l'immeuble, ni rechercher la responsabilité du notaire, lorsque la clause de reconciation est parfaitement claire.